Réalité, réalités, subjective(s) et/ou objective(s)
Au détour d'une discussion sur la Fediverse avec ·Gor lilith, je me retrouve l'envie d'écrire quelques mois plus tard.
C'était l'hiver dans l'hémisphère nord, une pandémie de SARS-CoV déjà âgée d'une année, un confinement en Europe.
Réalité, perception et individu
La question ainsi posée par mon interlocuteur était : « “la réalité, telle que perçue par un individu, dépend de son vécu” est une évidence ? »
« Ce phénomène a priori scandaleux aux yeux de scientifiques durs est pourtant déjà bien connu en sciences humaines, où l’on sait que la réalité, telle que perçue par un individu, dépend de son vécu⁷. » La Construction Sociale de la Réalité, Peter Berger et Thomas Luckmann, Armand Colin (2012). https://zet-ethique.fr/2017/07/13/pensee-rationaliste-et-anti-feminismes-1/
Peter Berger et Thomas Luckmann, Armand Colin, sont des cadres de la phénoménologie sociologique. La phénoménologie est un courant de pensée du XXe siècle fondé par Edmund Husserl dans l'optique de faire de la philosophie une discipline scientifique, en rupture avec le psychologisme et en opposition à la métaphysique (« Recherches logiques » (1900-1901)).
Réalité du temps
Le ressenti que nous avons du temps dépend de notre place sociale ( Le temps et les temporalités à défendre dans les politiques sociales et l'intervention sociale — Brigitte Bouquet). Par exemple, une valeur attribuée à 1 heure de votre temps de travail sera très probablement différente de celle attribuée à Monsieur Jeffrey Bezos. Autre exemple, lorsque vous une femme avec un nourrisson dans une société hétéronormée 4 heures d'une matinée sera un vécu et une réalité avec de multiples tâches, responsabilités, charges, énergies, pensées, qui sont bien différente d'un homme hétérosexuel, en cisidentité, du même âge et de même classe sociale.
« Du temps » de Nobert Elias est un sacré bouquin.
Il est sociologue, Allemand, docteur en philosophie, spécialiste d'une sociologie de la connaissance.
Il y creuse la question du temps dans la perspective sociologique du processus de civilisation (et pas mal avec le rapport de l'époque au concept de nature — toujours dans un dualisme nature / culture qu'il désagrège assez bien de mon point de vue) (ref)
Chez Norbert Elias, en sociologie des savoirs et de la connaissance, le niveau de développement de société dans lequel un individu est partie prenante (le groupe est la multitude – théorie de la civilisation), c'est à dire la capacité à intégrer des complexités, est corrélé avec la situation de danger individuel.
En d'autres termes, un individu d'un groupe peu « développé » lorsqu'il est en danger cherche fréquemment à expliquer son rapport au monde par des symboles (qui sont des instruments d'orientation) fantasmatiques.
Le développement de la civilisation tend à fournir plus de sécurité individuelle. Se développement est réversible.
« Le développement de notre fond commun de savoirs revêt pour l'humanité une importance qui est sans doute sous-estimée aujourd'hui, et c'est précisément pourquoi cela vaut la peine de lui accorder plus d'attention » (N. Elias, 1984).
« Le développement du savoir social, à l'instar de celui qui s’opère dans d'autres secteurs, joue lui aussi un rôle dans la survie de tous les groupes humains et de leurs membres, en ce sens qu'il participe de manière active à l'évolution de ces groupes ».
Son apport sur la question de la perception du temps au travers de plusieurs est une contribution importante pour la compréhensions de ce qui peut être vu et compris comme réalité.
« Comme les montres et les bateaux, le temps est quelque chose qui s'est développé en rapport à des intentions déterminées et des tâches spécifiques des Hommes. De nous jours le “temps” est un instrument de mesure indispensable pour effectuer une foule de tâches diverses »
Et les « temps » avec ces différentes formes d'acceptations se lie et se relit au travers de discipline.
« Et c'est finalement à Einstein qu'il revient d'avoir mis en évidence que le temps est une forme de relation et non, comme le croyais Newton, un flux objectif, élément de la création au même titre que les fleuves et le montagnes, et tout aussi indépendant qu'eux de l'activité déterminatrice de hommes en dépit de son caractère invisible. Mais Einstein lui-même n'est pas allé assez loin et n'a pu totalement échapper au fétichisme verbal. […] Il n'a évoqué les problèmes du temps que dans les limites du cadre des physiciens. Or un examen critique du concept de temps implique que l'on rende également intelligible la relation entre temps physique et temps social ou, en d'autres termes, entre la manière de déterminer le temps en référence à la “nature” ou en référence à la “société”. Mais Einstein ne s'était pas fixé cette tâche, qui, de toute façon, ne relève pas de la compétence du physicien ». Nobert Elias, « Du temps », 1984, Chez Pocket, Introduction p.55
Pour ce qui était de mon interlocuteur ·Gor lilith, au sujet précédemment cité chez Peter Berger et Thomas Luckmann, Armand Colin, il survient une question : « on ne parle pas de la réalité, mais des réalités subjectives, qui est bien notre expérience, mais ça n'est pas ce dont on parle quand on parle de la réalité. Dans ma compréhension, la réalité, c'est indépendant de l'existence d'animaux capable d'en percevoir des facettes. »
L'étude de la vie des vivants revient par fois dans les limites du cadre des biologistes.
Biologie et réalité(s)
Le mot et concept biologie lui arrive en 1766 par Michael Christoph Hanow ; puis en 1797 par les médecins Roose, Burdach et Treviranus (1800 -1802) puis par Lamarck (1800 – 1802) naturaliste, botaniste, zoologiste.
Comme discipline scientifique.
« Le positiviste en biologie évite les concepts métaphysiques en opérant une réduction dans ses questions. Ainsi, quand François Jacob déclare qu'on n'étudie plus « la vie » dans les laboratoires, on peut comprendre que le concept de « vie » s'apparente aux anciennes abstractions de la métaphysique. Que se passe-t-il dans les laboratoires ? On étudie des relations d'oxydoréductions, des méthylations, différentes réactions entre des molécules : mais voit-on jamais la « vie » ? Au lieu de la « vie », la biologie positive étudie les propriétés d'un des niveaux d'organisation caractéristiques du vivant (individus, issus, cellules, molécules). […] On pourrait convoquer d'autres exemples : la biologie étudia t-elle « l'animal » ou uniquement des séquences d'action-réaction, des réflexes, des comportements stéréotypés ? Étudie t-elle « l'humain » ou seulement sa physiologie, ses comportements sociaux ? » Métaphysique et biologie, par Thierry Hocquet dans précis de biologie https://fr.calameo.com/read/000015856d
Sur le rapport à la « réalité », notamment en biologie (et pourquoi malgré la proximité avec la philosophie) et les acceptions ou non de certains angles apportés par diverses branches de la métaphysique, nous pouvons apporter quelques regards en prémices d'examen.
Bien avant cette biologie, il y a des origines et des héritages que l'on ne doit pas masquer, notamment si l'on insiste à creuser la réalité et les rapports que nous entretenons avec elle.
« La magie se relie aux sciences, de la même façon qu'aux techniques » p.136 « si éloigné que nous pensions être de la magie, nous en sommes encore mal dégagés » (p.137) ; « Elles (les écoles de magie) furent les premières académies » ; « Ni les techniques, ni les sciences, ni même les principes directeurs de notre raison ne sont encore lavés de leur tâche originelle » (p. 137) Marcel Mauss (1902 – 1903), Théorie générale de la magie, Puf édition.
Le phénomène de la réorganisation des sciences du vivant au XVIIIe étaient déterminé par des réflexions logique sur l'essence du sujet et sur des exigences portées sur la connaissance authentique de la « nature ». C'est une volonté radicale, qui s'entreprend en profondeur racinaire, de fonder une nouvelle logique. Logique qui dirige à l'examen de la ou les réalité⋅s.
C'est ici un esquisse a minima pour donner à comprendre comment se passe aujourd'hui des « choses » dans les universités, écoles, labo, à des personnes qui sont en demande de participer à la discussion (voir même la disputatio) et qui n'ont jamais pu franchir les murs de ces institutions.
Maintenant, pour m'orienter :
- Qui juge de qui / de quoi ?
- Depuis quelle position ?
- Sur quoi ?
- Comment ?
Ensuite la « “vieille” épistémologie » avec objet et sujet bien distant, séparation étanche, a commencé à exploser au début du XXème siècle (philo, anthropo, socio, ect) et continue aujourd'hui. Par exemple, le changement de de l'hérédité tout génétique¹ à d'autres approches en biologie². Aveux et consensus se forment après les études sur le fait qu'il n'y que peu ou prou de cloison étanche entre objet et sujet, entre observatrice, observateurs, et observées ; entre milieu et individu. Les inter-influences existent (exemple: « Microbiote : dites-le avec des flores )
Par exemple, Maria Sibylla Merian, naturaliste et illustratrice science du XVIIeme siècle (le mot et concept biologie lui arrive plus après les naturalistes). Elle a longtemps été érigée en « rockstar » de la science.
Heureusement les disciplines collaborent et la science fonctionne aussi par réfutation (aka mise à l'épreuve des théories et hypothèses).
Maria Sibylla Merian vivait dans son « siècle » avec sa classe sociale. Elle n'a pas pris ce contexte comme biais possible dans ses recherches (c'est l'un des actes les plus difficiles en science : penser contre soi-même / sa « réalité »). Tel que sont l'esclavage, sexisme, soumission des femmes, etc
Ainsi, ses recherches les insectes et leur reproduction sont totalement teintés de « white supremacy » et de « masculinisme » : “Breeding Insects and Reproducing White Supremacy in Maria Sibylla Merian’s Ecology of Dispossession”.
Revenons plus de notre époque avec la proximité biologie / philosophie et le problème de « réalité ».
(Métaphysique et biologie, par Thierry Hocquet dans précis de biologie)
Rejet de la métaphysique fumeuse et saine méthode scientifique
le positivisme en biologie évite les concepts métaphysiques en opérant une réduction des questions […]
La science, dans sa forme (ultra)spécialisée, est devenue une « sorte de technique théorique qui comme la technique au sens habituel du terme, repose beaucoup plus sur une “expérience pratique” dans l'exercice lui-même d'une activité répétée et variée (aussi appelée “intuition”, tact, dans la praxis. » (Husserl, 1929).
Ainsi, la réalité nous vivons une relation avec elle, et certaines de ces relations passent par des cadres disciplinaires qui sont voué à décrire et étudier des existants. Il serait bon pour notre réflexion d'avoir plus d'apport en sociologie et en anthropologie sur ce sujet.
Par contre donner une matière, un corps à la réalité, la réifier, pousserait probablement à du fétichisme verbal (expression de N. Elias) et entretiendrait la substance d'un mythe de la réalité mesurable selon les outils, méthodes, appareils, de sciences « formelles ».
Disputatio
(J'empreinte ici les mots de mon interlocuteur premier)
Mon propos et mon étonnement était face à une vision caricaturale avec d'un côté des défenseurs de La Réalité, avec La Science qui en serait la description exact, neutre, infaillible, et de l'autre les tenants de la réalité comme construction sociale, donc le règne des réalités subjectives, en partie irréconciliables. Je pense qu'on ne parle pas des même « réalités ». (ici j'ai voulu insérer une citation à visée de discussion dans nos échanges)
“it may be, that long after the theories of the philosophers whose achievements are recorded in these pages, are obsolete, the vision of the poet will remain as a truthful and efficient symbol of the wonder and the mystery of Nature. ” Thomas Henry Huxley (1869), 4 novembre 1869, introduction au premier numéro paru de la revue scientifique Nature.
J'en vois au moins 3. Les sciences (et pas la science…) serait au milieu des 2 autres. Ce sont des tentatives de décrire une réalité objective (et voilà l'une des 2 autres), de manière faillible et perfectibles, sujettes à nos biais culturels et sociologiques, mais avec des pratiques qui cherchent à les réduire, au moins en partie, progressivement, notamment grâce à des regards nouveaux. Dans ce sens-là, les propositions des sciences sont des réalités socialement construites mais plus générales, plus partageables, plus collectives que mon expérience individuelle. La troisième réalité, qui en fait n'est pas la réalité, mais mon expérience subjective, réelle en quelque sorte, mais qui n'est pas générale, qu'en partie partageable.
Dans La science, sa méthode et sa philosophie³, Mario Augusto Bunge, philosophe des sciences argentin, propose 4 désignations pour loi scientifique. Je n'ai pas encore tout bien compris, mais la première, loi-1, c'est « toute relation constante et objective dans la nature, dans l’esprit ou dans la société ».
La deuxième, loi-2 « ou énoncé nomologique ou énoncé de loi, désigne toute hypothèse générale qui se réfère indirectement à une loi-1 et qui constitue la version conceptuelle de celle-ci. » (ici encore j'insère une citation dans nos échanges en guise de discussion)
« Nous avons compris que les non-humains étaient tout sauf la nature. La nature est un dispositif métaphysique, que l’Occident et les Européens ont inventé pour mettre en avant la distanciation des humains vis-à-vis du monde », Philippe Descola
Et c'est bien là que se glissent les constructions sociales, dans le fait que c'est un énoncé, et même avec toutes les précautions possibles, ça reste emprunt de subjectivité.
Je pense quand même que les sciences reposent sur le postulat qu'il existe une réalité objective et qu'il est intéressant d'essayer de la décrire. Certes, comme nous sommes des animaux, nous devons accepter qu'on n'y arrive jamais vraiment, on y approche, on ne fera jamais que d'en approcher.
Sinon, qu'est-ce qui nous empêcherait de dire n'importe quoi ? Ou alors de dire des propositions selon une logique interne et des méthodes rigoureuses (les sciences formelles) sans se préoccuper des faits.
Et ça n'empêche nullement à des groupes sociaux exclus, dominés, de ne pas se laisser faire, de renverser les tables et de montre que « cette » description du réel est injuste, partiale, biaisée.
Ni à la poésie d'exprimer nos vécus, nos rêves, nos folies, nos subjectivités.
(Et en rebond à mes insertions, mon interlocuteur ajoute)
La nature != la réalité. C'est une autre question. Sur ce point, on peut dire que les artefacts de l'animal humain sont encore de la nature, ou que l'artificiel appartient à la nature.
À noter que dans l'ontologie matérialiste de Bunge⁴, la réalité, la matière, la nature, etc., sont des concepts, pas des entités réelles. J'imagine que l'espèce en fait partie. Le réel (concept, non réel donc) est fait d'objets individuels et uniques. Mais c'est encore une autre question.
Cognition
Le fait de connaître passe aussi par les outils, physiques et conceptuels, que nous avons à notre disposition.
« La cognition est l'ensemble des processus mentaux qui se rapportent à la fonction de connaissance et mettent en jeu la mémoire, le langage, le raisonnement, l'apprentissage, l'intelligence, la résolution de problèmes, la prise de décision, la perception ou l'attention. » Wikipedia
Ces outils servent d'instruments d'orientation, d'utilisation et de production. Des lances de Néandertal aux actuels téléphones dit intelligent en passant par les montres du temps depuis 1510, nos cognitions passent par des objets. Les connaissances, les descriptions, que nous pouvons tenter de produire sur la notion de réalité sont filtrées dans ce maillage.
D'une certaine position de vue, nous tentons d'examiner réalité / réalités avec une effectuation technique naïve. Aussi, s'efforcer à travailler la méthode avec laquelle nous tentons cette entreprise est nécessaire. Comme par exemple, nous poser cet enchaînement de questions lorsque nous regardons le concept de réalité⋅s :
Quelle logique est mise en œuvre (formelle, aristotélicienne, transcendantale, sophiste (beurk), etc)
Quelle philosophie radicale soutenant cette logique (essentialisme, matérialisme, etc) ?
Quelle normalisation et quelles directions établie cette logique choisie consciemment ?
Dans quel régime de principes est-elle réalisée ?
Quels effets, effectuation, pattern d'effets sont observables en « sortie » ?
C'est un travail sur quelle méthode et quelle place pour cette méthode dans le regard que nous portons sur la « réalité ».
D'un point de vue depuis l'anthropologie générale, plus encore en anthropologie de la technique, « dès le langage apparu, le monde dans son entièreté est devenu signifiant » (Mauss, M. 1901 -1902, Esquisse d'une théorie générale de la magie). Des millénaires plus tard nous peinons toujours à signifier, dire, expliquer ce monde.
Notre réflexion ici et les discussions que nous ouvrons sont assujetties à une inclinaison en 2 pentes qui apporte un angle qu'il faut souligner. Le choix, ou choix peu réfléchi, de boussole et de compas, oriente notre cheminement. D'une part, toutes nos références utilisées sont Européennes (ou Européo-Nord Américaine pour Peter Berger) ; de l'autre toutes les personnes qui portent ses références sont masculines (hors Brigitte Bouquet) et du sérail universitaire. Notre réflexion et nos discussions gagneraient à être abondées d'autres sources, angles, et racines. Réalité, réalités, subjective(s) et/ou objective(s) et les questionnements inférant et affordant ne feraient que souffrir d'une approche uniquement provinciale et d'une vision normative héritée d'un passé que nous n'avons pas décidé.
NDLR : Voilà, nous avons discuté de réalité(s), d'objectivité(s) et et du subjectivé(s) lors d'une saison hivernale au sein de laquelle nous étions sous un régime de confinement. Aujourd'hui nous vous en partageons une retranscription. Grand merci ·Gor lilith <3
Notes et références
1: 6 Juillet 2021 : Décès de Richard C. Lewantonin Biologiste, philosophe des sciences du vivant, généticien, marxiste matérialiste, de 92 ans. Il a œuvré avec force, conviction, et rigueur au démantèlement des théories racistes, déterministes (biologiquement parlant), et néo darwinisme et aussi sociobiologie et psychologie évolutionniste.Notamment par la rigueur d'étude de la génétique des populations. https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_C._Lewontin & https://www.newscientist.com/article/2283160-richard-lewontin-pioneering-evolutionary-biologist-dies-aged-92 . Avec le décès par cancer ce jour de Axel Kahn, C'est une immense page des sciences qui se tourne, alors que nous vivons sous le porche des obscurantismes idéologiques fascistes violentes, du racismes, et des agressions contre les LGBTQIA+.
2: Si les origines des humanités vous intéressent :
Anthropologie, paléo, biologie, génétique, archéologie, philosophie… il est aussi beaucoup question de techniques, outils, cognition, culture et ce qui fait Humanité(s)
1 documentaire Arte de 50 minutes sur « à la rencontre de Néandertal ». Bien foutu, bien accessible, quelques ratés de traduction en fr et un ou deux bullshit de la voix off. https://www.arte.tv/fr/videos/081663-000-A/a-la-rencontre-de-neandertal/
4 billets de ma part. 4. https://xavcc.frama.io/humain-4 (avec lecture enregistrée) 3. https://xavcc.frama.io/humain-3 2. https://xavcc.frama.io/humain-2 1. https://xavcc.frama.io/humain
Cartes géographique « interactives » de l'évolution de l'humain·e au travers des espèce qui composent celle, celui, ci. Et des filiations génétiques https://todon.eu/@XavCC/106483210231501680
Un podcast Une histoire génétique : notre diversité, notre évolution, notre adaptation, leçon inaugurale de Lluis Quintana-Murci https://www.franceculture.fr/emissions/les-cours-du-college-de-france/une-histoire-genetique-notre-diversite-notre-evolution-notre-adaptation-lecon-inaugurale-de-lluis
3: traduction de La ciencia, su método y su filosofía (1960).
4: MAHNER, Martin, 1997. Foundations of biophilosophy. Berlin : Springer. ISBN 9783540618386.