Je me sens tellement libre. Des barrières ? Oui, celle du respect de l’autre, dans le souhait de ne pas l’entrouvrir. La laisser sceller son jardin secret, le pansement sur ses plaies, son espace de liberté. Pourvu qu’en ouvrant les flots de mon cœur, les flots de mes pensées, je pense à bien veiller à ne franchir ses digues et les limites de son monde secret, de son espace de respiration. Sarita 20/01/21

#poésie